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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Les éclats du passé
02/10/2005 19:59
Les éclats du passé
Au reflets émaillés aux éclats aveuglants Au cimetière usé érigé sous les temps Des miroirs reflétants l'énergie du passé Dans ma tête penchant vers la lueur sacrée
Aux éclats des anneaux aux reflets des épreuves A son propre caveau des souvenirs qui pleuvent Sur l'illusoire preuve émanant de tes mots Dans lesquels on s'abreuve en creusant son tombeau
Aux transparents trompeurs aux vitres évidentes Au cercueil des bonheurs enterré sur les pentes De la mémoire errante à ses passés menteurs Annonçant la descente au cachot des malheurs
Aux cristaux mal taillés aux pauvres minerais A la tombe scellée des idéaux parfaits Le présent s'apaisait après s'être érodé Par la vie qui faussait chaque jour plus les dés
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Le puy de la différence
02/10/2005 19:51
Le puy de la différence
Sur la pierre est gravée, le nom de la maison Des lettres en fer forgé, noircies sur son blason L'épigraphe en symbole, parle d'une vie de tourments De reliefs agités, fait de beaux sentiments
Ma famille embaumée d'un parfum de souffrance Sentant la vive douleur s'échapper en fragrance Dégage un air subtil, mélangé au bonheur Un arôme délectable, s'attardant en flâneur
Des bouquets conjugués, de riches tonalités Mêlés de dissemblances et de normalités un panaché de roses, espérant l'amitié Grandir dans une eau fraîche, sans connaître la pitié
Le nez dans ces effluves, les gens sont repartis respirant les odeurs, du chagrin ressenti sans percevoir l'amour, la simple envie de vivre De donner aux proches, la joie à devenir ivre
Blessé par leurs épines, mon coeur s'est refermé sur des désillusions, des portillons fermés Des regards ignorants, démontrant leur faiblesse fixés sur le handicap sans délicatesse
Echoué dans un livre, une rose rouge asséchée Témoin de mon passé, d'une destinée couchée Sur mes mots posés : le puy de la différence Source d'abandon, noyé dans l'indifférence
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Chaos
02/10/2005 19:38
Mes blancs étendards se tâchent de rouge Bâillon d’incompréhension qui étouffe mes pleurs D’une espérance qui lentement se meurt Regarde ce temps qui passe, rien ne bouge
De ce chromatisme aux reflets sombres Je deviens l’homme sans visage, sans ombre. Je préfère fermer les yeux sur le réel Ne plus voir cet univers carmin et cruel
De ce triste tableau, la beauté est abolie Le monde est devenu une courbe sans vie Une âme aseptisée à l’horizon de néant Heureux de son propre anéantissement
Sous le regard de la lune désintéressée Ce Chaos, cette triste image à oublier Je m’enfonce dans une sphère sans fenêtre Dont mes mots seront les combinaisons secrètes
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Obscurité câline
02/10/2005 19:27
Obscurité câline

Un enfant dort, paisible sommeil Sa porte est restée entrouverte Approche murmurée, sans réveil Dans la pénombre, tendre découverte
Pyjama de velours, caresse maternelle Qui vient frôler ses songes enfantins Rêves sucrés de guimauve, en aquarelle Douces ballades jusqu’au petit matin
Remontée des draps froissés, geste soyeux Le regard de sa mère, protection apaisante Moment calme et intense, moment à deux L’enfant dort, pour une destinée souriante
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